"Le problème de notre temps n’est pas la bombe atomique, mais le cœur de l’homme".Albert Einstein.
La civilisation occidentale a longtemps atrophié le côté droit - sensitif et intuitif - de notre cerveau, au profit du gauche, celui qui dissèque et analyse. Cette attitude réductrice a eu comme effet de limiter notre compréhension de l’homme et des maladies au seul plan physique, au seul niveau du symptôme et du lésionnel que l’on cherche à supprimer avec l’arsenal médicamenteux de la pharmacopée chimique et des vaccinations. Il est un fait que la médecine moderne et matérialiste est avant tout orientée vers les thérapeutiques "au coup par coup", sans vouloir comprendre réellement la signification de la maladie qui est d’abord un "mal-à-di (r) e".
Certes, cette médecine a progressé dans l’analyse et l’exploration de l’organisme humain. Mais toutes ces investigations en profondeur - qui ne sont pas sans danger - ne tiennent pas compte du "Souffle" qui anime l’Etre humain et de ses rythmes propres, de ce Principe subtil précédant la manifestation, par lequel la matière existe, de ces interactions vibratoires qui ont amené l’organisme à s’exprimer au travers d’une pathologie.
Certes, la médecine du corps physique obtient des résultats incontestables dans le domaine de la chirurgie notamment et des réparations plastiques. Toutefois ces résultats restent ponctuels, partiels, car ils ne sont jamais intégrés dans un ensemble où la totalité de l’être humain - corps / âme / esprit - serait appréhendée. Ceci nous explique qu’un grand nombre de maladies organiques ne trouvent pas d’étiologie valable, ni de thérapeutique adéquate, sans parler des maladies fonctionnelles (dysfonctionnement d’un organe, d’un ensemble d’organes). N’oublions pas que 80 à 90 % des malades qui consultent un généraliste sont des "fonctionnels" et que leur "mal-à-dire" n’a rien d’imaginaire !
Transcender l’aspect moléculaire (Lire la suite...)